dimanche 25 novembre 2012

Villages de Thaïlande et d’ailleurs

Au cœur de la campagne thaïlandaise, rendez-vous en terre inconnue.


Trois jours d’immersion grâce à un trek, notre équipe française a traversé plusieurs villages.
 

Dans ces villages, de nombreux visages nous avons rencontré.
 

 Des plus jeunes étonnés,

 

Ceux qui jouent avec ce qu’ils trouvent, l’universelle roue, pneu de mobylette,


Ou celles qui apprennent le maniement de la machette,


D’autres qui possèdent leur propre voiture,


Certaines timides rêvent peut-être d’évasion,


D’autres aiment poser devant l’objectif,


Nous avons rencontré des gens très accueillants,


Qui ont une très grande richesse,


Leur extrême gentillesse. Ils vivent selon leurs traditions,


En tentant de s’intégrer à la population. Le nord-ouest de la Thaïlande accueille des populations d’immigrés qui sont venues de Chine, du Tibet, du Vietnam, de Birmanie et sûrement encore d’autres pays. On les appelle ici ‘tribus’.


Merci à Dam notre guide thaïlandais détonnant qui a permis cette aventure (Si vous passez par Mae Hong Son, allez voir Dam à l'agence Nam Rin Tour pour les meilleurs treks de Thaïlande).


Et merci  à toute l’équipe française, Madé, Lucie, Marie-Claire, Fabien et Julien.

dimanche 18 novembre 2012

Logistique Tour Du Monde -6-, budget et petite monnaie

On nous pose souvent des questions sur notre organisation. Comment faites-vous pour circuler, dans quel type d’hôtel passez-vous vos nuits, comment faites-vous pour gérer les multiples devises etc.? Et il est vrai que jusqu’à maintenant, ce blog ne vous apportait pas de réponse mais simplement des photos. Aujourd’hui, changement de concept, un peu d’écriture pour vous faire découvrir l'envers du décor, un peu de notre logistique.



Aujourd'hui, numéro 6 du nouveau concept l'envers du décor,


Logistique Tour Du Monde -6-, budget et petite monnaie


Budget Global

Mise à part pour les îles Galápagos et pour la Polynésie Française qui restent des lieux magiques mais totalement hors budget; nous avons un budget moyen de 30 € par jour et par personne.
C’est bien-sûr une moyenne grossière que nous avons quasiment respectée en Amérique Centrale (plus dur au Mexique) et dans quelques pays d’Amérique Latine comme en Équateur, au Pérou et en Bolivie. Par contre, cette limite théorique est très difficile à respecter au Chili et en Argentine ; et impossible à tenir en Nouvelle-Zélande et Australie. Maintenant en Asie, c’est largement plus que suffisant vu qu’on se loge pour une dizaine d’euros la nuit et qu’un repas dépasse rarement 4 €.

Cette moyenne journalière ne tient pas compte non plus des dépenses en billets d’avion. Ce budget spécial est estimé à 5000 € par personne sachant que les billets « tour du monde » que nous avons achetés à Londres représentent 3500€ et que le reste devrait être largement suffisant pour les vols intra-Asie.  

Gestion quotidienne de la monnaie

Avant d’arriver dans chaque pays, on se renseigne sur le taux de la devise locale par rapport à l’Euro (on aurait dû partir il y a 2 ou 3 ans pour bénéficier de 25% de ristourne), ensuite on fait un gros retrait dans un distributeur en arrivant. Généralement, le distributeur possède une limite maximum de retrait qui nous convient. Pour cela, nous avons deux cartes de crédit, l’une de type VISA et l’autre de type Mastercard, car parfois, l’une ou l’autre ne fonctionne pas. Nous essayons de payer par carte dès que possible mais en fait, c’est rarement possible.

A noter, nous estimons entre 9 et 10%  du budget total qui partent en frais bancaires, parfois pour la banque du pays hôte mais surtout pour nos banques respectives en frais de change et frais de retrait.

Finalement, nous avons toujours quelques dollars en petites coupures qui peuvent être échangés quasiment partout en monnaie locale.

Enfin, avant de quitter chaque pays, nous faisons attention de ne pas trop retirer de monnaie locale et si malgré tout il nous en reste un peu, on les change à la frontière ou on achète des Mars, Twix ou autre M&M’s (merci pour la pub).

Question gestion, nous tenons nos comptes sur un bête fichier Excel avec un onglet global pour les cartes bleues et un onglet par pays qui contient quelques catégories comme « Hébergement », « Transport », « Resto », « Courses », « Extra ».

Question problèmes, il nous est arrivé deux fois d’avoir des retraits frauduleux. Il s’agit de distributeurs automatiques « piégés » qui ne te donnent pas l’argent souhaité et pourtant ces sommes sont débitées sur ton compte. La première fois, nous nous sommes fait détourner 500€, nos deux cartes sont passées dans ce distributeur au nord de Guatemala. Après quelques semaines, nos deux banques nous ont totalement remboursés. La deuxième fois, c’était la semaine dernière en Indonésie et je viens tout juste de m’en apercevoir, pour un montant de 300€ donc j’espère également que je serai dédommagé dans un délai raisonnable.

mercredi 14 novembre 2012

Bangkok, entre héritage et modernité


Bangkok est une mégalopole de 15 millions d'habitants, pleine de contrastes.


On y trouve des quartiers d’affaire modernes qui côtoient des temples anciens.


 Et on passe des masses de béton gris aux couleurs chatoyantes des palais.


Du rutilant sky-train aux taxi-boats.


 L’héritage semble lourd à porter.


Le résultat fait penser à un foutoir géant.


Les Thaïlandais d’hier et d’aujourd’hui vous passent le bonjour.


mardi 13 novembre 2012

Logistique Tour Du Monde -5-, la technologie

On nous pose souvent des questions sur notre organisation. Comment faites-vous pour circuler, dans quel type d’hôtel passez-vous vos nuits, comment faites-vous pour gérer les multiples devises etc.? Et il est vrai que jusqu’à maintenant, ce blog ne vous apportait pas de réponse mais simplement des photos. Aujourd’hui, changement de concept, un peu d’écriture pour vous faire découvrir l'envers du décor, un peu de notre logistique. 


Aujourd'hui, numéro 5 du nouveau concept l'envers du décor,

Logistique Tour Du Monde -5-, la technologie


Sans être des geeks, nous sommes tout de même bien armés en matériel électronique.

Tout d’abord, nous avons chacun un ‘ipod’ ; type ‘nano’ pour Caro et type ‘touch’ pour moi. Avoir sur soi sa propre  musique permet de se retrouver en royaume connu, c’est indispensable. De plus, l’ipod touch’ nous sert également de lecteur de Lonely Planet (cf. le post sur les guides touristiques), mais aussi de lecteur de ‘podcasts’ pour rester connecté aux actualités françaises ou mondiales.

Ensuite, Caro possède un kindle, livre électronique de chez amazon. C’est pour elle un accessoire totalement indispensable qui lui a permis de lire une bonne trentaine de bouquins depuis le début du voyage, tout ça dans seulement 250 grammes. Pour la mauvaise anecdote, Caro a perdu son kindle en arrivant en Polynésie française, quel drame ! Elle a dû patienter jusqu’à Melbourne pour en acheter un autre, l’attente a été très longue et la satisfaction du nouveau ‘kindle’ a été immense.
Nous avons également un petit ordinateur portable, internet PC de 10 pouces. C’est grâce à lui que nous trions les photos et que nous concevons le blog.

Finalement, depuis notre passage au Chili, j’ai craqué en achetant une tablette ASUS TF700. Sans vouloir chercher d’excuse, c’est vrai qu’il est plus confortable d’avoir deux appareils lorsque nous trouvons une connexion internet. Cela me permet également de découvrir Android, mon appréciation est encore mitigée. Par contre, le rendu de l’écran HD est vraiment excellent, les photos sont de suite beaucoup plus belles.

Finalement, je n’ajouterai pas les deux appareils photos dans cette liste vu que le post précédent leur est dédié.    

Conclusion, on fait peut-être un peu geek du coup. 

samedi 10 novembre 2012

Singapour, ville de vertiges

Entre l'Indonésie au sud et la Malaisie au nord se cache une cité-île extra-terrestre nommée Singapour. 


Difficile de décrire ce lieu sans tomber dans les clichés. On va dire, pleine de couleurs.


Avec une multitude de gratte-ciel, toujours plus hauts, toujours plus gros, toujours plus beaux ?!?.


Énormes ! Il y a même des buildings avec une couronne.


Ou encore mieux, des avions qui se posent sur des bateaux, eux-même en équilibre sur le toit d'immeubles flottant sur l'eau. Surréaliste. Oui oui, c'est bien cela. D'abord l'avion et le bateau.


Ensuite, les immeubles et l'eau.


 Puis nous avons eu droit à un peu de poésie.


 Avec de très belles fleurs (si si, cherchez bien et vous la verrez).


Merci à toute l'équipe des 'Murexiens expat' de Singapour pour leur accueil chaleureux.

mercredi 7 novembre 2012

Logistique Tour Du Monde -4-, la gestion des photos

On nous pose souvent des questions sur notre organisation. Comment faites-vous pour circuler, dans quel type d’hôtel passez-vous vos nuits, comment faites-vous pour gérer les multiples devises etc.? Et il est vrai que jusqu’à maintenant, ce blog ne vous apportait pas de réponse mais simplement des photos. Aujourd’hui, changement de concept, un peu d’écriture pour vous faire découvrir l'envers du décor, un peu de notre logistique.


Aujourd'hui, numéro 4 du nouveau concept l'envers du décor,

Logistique Tour Du Monde -4-, la gestion des photos


Un sujet primordial pour le voyage, il faut faire de belles photos, et surtout il faut les rapporter à la maison. Nous avons entendu tellement d’histoires de vols d’appareil photo où la personne perd également la carte mémoire contenant tous les souvenirs photographiques de son séjour, c’est trop triste.

Par conséquent, dans notre projet tour du monde, nous faisons de la gestion de risque en sauvegardant nos clichés chaque jour sur l’ordinateur de Caro, maintenant aussi sur la tablette de Dam, et même sur une clé USB. De plus, dès que nous avons une connexion internet correcte, on uploade des zip de photos sur internet et le père de Caro, ainsi que ma sœur les downloadent chez eux. Les photos en taille originale sont donc bien sauvées.
Grâce à ces petites techniques, nous n’avons perdu qu’une journée de photos lorsque nous nous sommes fait voler l’appareil photo au Mexique. Déjà rageant mais bon, moindre mal.

Pour le matériel, nous avons un petit appareil compact de chez Sony que nous utilisons peu finalement. Et nous avons donc dû racheter un bridge au Mexique (!?!), le même qui nous a été volé (et le seul que l’on ait trouvé dans toute la ville de Merida en 24h de recherches). Il s’agit d’un Panasonic Lumix FZ-40. C’est un bon compromis, appareil très polyvalent avec un grand angle et un zoom imbattable, un bon flash et tous les modes possibles et imaginables (ou « imaginaux » comme dirait David Douillet). De plus, la batterie dure en moyenne plus d’une quinzaine de jours donc pas de soucis. Nous avons également un petit trépied, indispensable pour les photos de nuit. Nous étant fait voler une SD carte de 16 Mo et de 32 Mo, nous avons maintenant racheté une de 8 Mo, largement suffisant pour notre utilisation quotidienne.

Question chiffres, vu que nous capturons les photos entre 5 Mégapixels et 7 Mégapixels selon les formats et modes, chaque image fait entre 3 et 5 Mo. Nous essayons de trier les photos presque tous les jours ; d’une part car c’est indispensable de le faire au fur et à mesure pour ne pas se faire déborder, et d’autre part pour nous permettre de sélectionner des photos pour le blog. Au 231ième jour de voyage, nous avons accumulé 5225 photos (avec quelques petites vidéos), ce qui pèse environ 20 Go. Pour faire vite, cela fait une moyenne de 20 photos par jour, à relativiser car par exemple, nous avons 700 clichés des Galápagos sur une grosse semaine. 

C’est déjà difficile de choisir les photos à mettre sur le blog, nous souhaiterions en partager plus mais je pense que le plus frustrant sera au retour : comment donner un aperçu du voyage à la famille et aux amis ? Sachant que nous aurons traversé 22 pays, serons-nous capables de sélectionner 5 photos par pays ? Cela semble impossible. Mais vous devez savoir une chose : les plus belles photos sont dans nos têtes :o).  
 

mardi 6 novembre 2012

Java, ses temples bouddhistes et sa conduite à gauche

Après ses fameux volcans, l'île de Java est également réputée pour accueillir les plus grands et les plus beaux temples bouddhistes du monde entier (c'est ce que dit la brochure).


Après être resté caché des siècles durant sous les cendres volcaniques et sous la jungle, le temple de Borobudur fut redécouvert en 1814 puis restauré à la fin du 20ième siècle. Il forme un carré de 118 mètres de côté et possède 9 plateformes superposées.


Je ne sais pas combien de Bouddhas il peut y avoir mais beaucoup (Bouddhas plus ou moins sérieux).


Mais le plus impressionnant dans ce site est la différence entre son état original au début du 20ième siècle et son état actuel après rénovation.

 
En 7 ans, entre 1975 et 1982, le temple été déconstruit pierre par pierre, de nouvelles fondations ont été érigées, et le temple a été remonté, un travail titanesque. Ensuite, voici Pranbanan, également très impressionnant avec ses 240 temples plus ou moins grands.


Il y a également beaucoup de pierres qui restent au sol donc beaucoup d'autres structures à reconstruire (si vous aimez les puzzles...).


Autre sujet passionnant, les moyens de transports indonésiens (ou asiatiques). On y trouve les vélos, indémodables.


Qui pourrait être surpassé par le scooter car on peut transporter la famille entière (ici 4 personnes).


Plus rare, voici le scooter pour touriste, moyen de transport très pratique pour visiter l'Indonésie car la location à la journée varie entre 3,2 et 4 €.


Et c'est ainsi que nous terminons notre périple en Indonésie.


  

lundi 5 novembre 2012

Logistique Tour Du Monde -3-, les sacs à dos

On nous pose souvent des questions sur notre organisation. Comment faites-vous pour circuler, dans quel type d’hôtel passez-vous vos nuits, comment faites-vous pour gérer les multiples devises etc ? Et il est vrai que jusqu’à maintenant, ce blog ne vous apportait pas de réponse mais simplement des photos. Aujourd’hui, changement de concept, un peu d’écriture pour vous faire découvrir l'envers du décor, un peu de notre logistique. 


Aujourd'hui, numéro 3 du nouveau concept l'envers du décor,

Logistique Tour Du Monde -3-, les sacs à dos


Comment transporter sa maison dans un baluchon ? Réponse simple, il faut réduire ses besoins au strict minimum. Malgré tous nos efforts, le minimum reste parfois lourd à porter.

Caroline voyage avec un sac à dos Deuter de 55 Litres (Traveller SL 55+10), il est pratique car il s’ouvre entièrement comme une valise, la fermeture éclair fait tout le tour, donc Caro peut choisir ses fringues à loisir. En ce qui me concerne, j’ai un sac à dos Lowe Alpine de 75 litres (Appalachian), plus classique. C’est d’abord un sac d’alpiniste, très léger et avec de multiples petits atouts comme les portes bâtons. Et oui, nous avons acheté des bâtons de marche. C’est efficace pour les randonnées mais le reste du temps, il faut bien les porter. Ensuite, on a chacun un petit sac à dos d’appoint, respectivement 35 et 40 litres. On y met les affaires sensibles lorsqu’on se déplace ou alors on en prend un pour aller se balader. Ah oui j’oubliais, le sac Deuter de Caroline possède également un tout petit sac d’appoint, une quinzaine de litres, qui est attaché sur le gros, on s’en sert souvent comme sac pour la journée.

Qu’y a-t-il dans nos sacs ?

Si je parcours le contenu de mon sac, on y trouve un duvet léger, un sac à viande en soie, des chaussures de randonnées, des baskets légères, des sandales super-sexy à l’allemande et des tongs. Un coupe-vent, deux polaires, un pull, des gants, un bonnet, une casquette. Un jean, trois pantalons de randonnée qui se transforment en short, 3 shorts, 3 chemises et 4 Tee-shirts. Une quinzaine de sous-vêtements. Un maillot de bain, une serviette ultra-légère. Ensuite, ne pas négliger le poids de la technologie, un ordinateur, un appareil photo et les chargeurs et adaptateurs qui vont avec. Reste quelques indispensables comme une lampe frontale, un couteau, un frisbee, les lunettes de soleil, de vue, les lentilles, un carnet de note, un carnet de plongée, les guides et autres bouquins. Reste enfin une belle trousse à pharmacie et celle de toilette. Nous avons également des housses anti-pluie pour chacun des sacs. 

Au final, le sac de Caroline est maintenant à 16 kg et le mien à 19 kg. C’est décidé, nous allons enfin renvoyer en France les deux sacs de couchages et quelques affaires chaudes et je vais me débarrasser de mes grosses chaussures de marche qui ont tout donné. 

vendredi 2 novembre 2012

Java, frissons volcaniques

Depuis le début du voyage, nous avons admiré un grand nombre de volcans vraiment impressionnants. Notre fascination a encore été amplifiée grâce à deux chaudrons de Java, le volcan Kawah Ijen et le volcan Bromo.


Le volcan Ijen, à l'est de l'île de Java, est réputé pour son lac turquoise considéré comme le lac le plus acide du monde (Ph de 0,2). Le cratère contient des fumerolles de soufre qui donnent lieu à une importante exploitation minière.


Nous devinons, sur la photo ci-dessus, les mineurs ou plutôt les porteurs qui s'enfoncent dans l'antre du monstre pour remonter des paniers de soufre sur leurs épaules. Ci-dessous, nous voyons le chemin qu'ils empruntent deux fois par jour. Il faut savoir que les vapeurs sont chargées en acide chlorhydrique, acide sulfurique et dioxyde de souffre, mélange pas vraiment top pour la santé.


Ils exécutent ce travail pour 150 000 roupies par jour soit 12€. J'oubliais, chaque panier fait environ 40 kg. Imaginez donc la remontée du cratère puis la descente raide jusqu'au village avec 80 kg sur les épaules.


Et en bon indonésien, ils arrivent à garder le sourire. Exploitation de soufre ou exploitation de mineurs ?


Ensuite vient le fameux Bromo qui comme chaque matin est entouré de la brume présente dans la caldeira.


Ceci est la photo de référence, prise par des centaines de touristes chaque jour. Il faut savoir que le cratère du Bromo est celui qui fume constamment au deuxième plan. En arrière plan, il s'agit du volcan Semeru, qui fume un peu toutes les 30 minutes. Et au premier plan, le Batok qui lui a arrêté de fumer suite à la dernière législation en vigueur. On aperçoit mieux le cratère du Bromo sur la photo ci-dessous, on devine également le temple hindou à son pied.


Ci-dessous, la photo inverse, prise de la lèvre du cratère du Bromo avec le Badok non fumeur au premier plan, et le mirador sur la caldeira au dernier plan.


Toujours prise de la lèvre Bromo, d'où sont lancées les offrandes, voici le cratère. On y lance des fruits, des fleurs, parfois même des touristes a-t-on entendu (mais pas vu). 


Ce jour là, le volcan est resté tranquille ; nous avons pu nous promener sereinement dans sa caldeira.


Encore des étoiles plein les yeux.