Le Leon du Nicaragua

Nous étions ici dans la ville nicaraguayenne des quenelles qui se nomme Leon.

On dit ici les Quenelitos, terme qui s’emploie également pour désigner une personne qui joue au futibol comme un pied  (certains comprendront, dédicace à tous les amis intellectuels supporters).

 





Le centre-ville est très sympathique avec un charme certain.

Les mamans travaillent en élevant leurs enfants (ne zoomez pas, ce serait indécent).

Les fresques appartenant au passé du Nicaragua rappellent des évènements plus que contemporains pour d’autres pays.

Mais accablés par la lourde chaleur, nous décidâmes de prendre la route d’évacuation (prendre la fuite).

Nous nous échouâmes sur une plage noire de monde (ah non pardon, seulement noire mais pas de monde).

Avec des petites vagues toutes riquiqui (amis surfeurs, c'est ce qu'on appelle un pur spot).

Nous nous sentions seuls au monde.

Mais le monde était entre nos mains.

Puis finalement, c’est au retour à Leon que le tsunami nous a surpris.

Demain, nous partons pour un trek de deux jours, espérons que le ciel ne nous tombe pas sur la tête !

Diarios de Motocicleta ou Pizza Scoot in Roatan

Ami motard, membre de la Joe Bar Team, ce post est pour toi.

Il avait les lunettes de soleil depuis peu;




Et cherchait une monture assortie;

Il a finalement trouvé une superbe Suzuki.

Sa compagne était ravie (et rassurée par la petite cylindrée);

Ils purent ainsi jouir d’une liberté quasi infinie.


Découvrir des endroits inconnus.

Exprimer leur folie perdue;

Laisser parler leur jeunesse révolue;

Mais il faut bien vous dire que le 2 roues, ça fait aussi mal au ...

(Un peu comme les résultats du premier tour).

Il était une fois Roatan

 

Il était une fois une petite île des Bay Islands au Honduras où il faisait bon vivre. Tranquillement. Doucement. Chut, ne faites pas trop de bruit, le doux son de la jungle nous berce.

Au milieu d’une végétation luxuriante, se trouvait notre cabanon. Avec quelques plaisirs chocolatés, nous menions une vie de chat.

Impérial ! (nom de la bière locale).

Unique activité, la plongée, avec une visibilité à couper le souffle (figure de style bien sûr). D'abord, phase de préparation : rappels, mise en place du matériel, préparation psychologique, mise à l’eau en petit bassin.
 

Phase d’observation : Comment nage un poisson.

Phase d’imitation : Imaginons que nous sommes des poissons. Vous notez l’extraordinaire ressemblance, autant sur le physique que dans la gestuelle, la grâce quoi...

Phase d’autocongratulation (ben oui, période électorale oblige).

Bref, un beau duo dans une magnifique baignoire bien remplie.

On vous embrasse tous…

Copàn, les dernières ruines magiques

Aujourd'hui, nous avons apprécié notre dernier site Maya, le site le plus au Sud Est de l'Amérique Centrale donc le dernier dans tous les sens du terme, les ruines de Copàn. Nous n'avons pas été déçus, tout est une question d'échelle.

Sur cette photo, nous pouvons observer la petite Caroline au pied de la pyramide. Le site est grandiose, le nombre de touristes ridiculement petit, la végétation impressionnante, le niveau de détail des constructions inimaginable. Bref, du grandiose à l'infiniment petit.

Sur cette photo, un arbre modeste qui tient debout grâce à l'intervention de la grande Caroline. Nous ne sommes pas seuls, un balayeur s'est glissé sur la photo, mais où est Charlie?

Sinon, il y avait également de très belles couleurs que l'on peut qualifier de bruyantes.

Nous avons également pratiqué notre sport favori.

Puis fait connaissance avec de vieux amis...

Bref, tout cela s'est fini autour d'une bière, mais quelle bière !!!

 

Spéciale dédicace à nos amis Belges (nombreux) et aussi aux Portugo-Luxembourgeois...

Lost ?!?

Aujourd’hui, nous passons par El Salvador. On nous a parlé en bien de ce petit pays qui a connu une douloureuse guerre civile récemment.

Malheureusement, nous n’avons pas eu trop de chance. Le premier jour, passage du Guatemala à El Salvador, nous avons subi quelques péripéties de transport et malgré notre départ à 6h30 du matin, nous n’avions pas atteint notre destination à 19h (Il y a en gros 300 km, c’est pour vous donner une idée de la moyenne horaire, 30 km/h…).

Du coup, nous avons passé notre première nuit dans ce petit pays dans un hôtel bien miteux.

Le deuxième jour, nous décidons d’aller au parc national Cerro Verde au cœur duquel se trouvent 3 volcans, pour prendre un peu d’altitude et de recul sur cette région.




Malheureusement, le temps n’était définitivement pas avec nous.


Heureusement, Damien a trouvé une grande occupation car le bus qui nous avait emmenés à 7h45 sur le site, qui était en fait le seul bus de la journée, n’est reparti qu’à 15h. Nous avons eu grandement le temps d’admirer les nuages…

Lors d’une éclaircie d’une durée approximative de 4 minutes, nous avons réussi à attraper ce cliché.

Heureusement, la végétation restait impressionnante et un sentiment étrange est apparu.




Sommes-nous perdus sur l’île perdue de la série TV « perdue » (Lost)? Le décor y ressemblait à s’y méprendre.

D’autant plus qu’une fumée continue venait nous narguer dans une danse encore étrange.
Ayant peur d’y laisser notre peau, la communauté entière a voté à l’unanimité (Caro et moi). Le mieux est encore de dormir.